@witria_faisal16: tenang di syurga dek 🥺🤲#quotestory

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มาแกะกล่องกันอีกแล้ว 🙉🙉 #skullpanda #molinta #blindbox #กล่องสุ่ม #VoiceEffects

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#GODOBOUE. L’institution du chef de village « Acoubêoté », ne fait pas partie de nos us et coutumes. Elle est une institution crée en 1896, vieille de 125ans, par le colon français, afin de mieux exploiter ses colonies. Elle fait partie d’une réforme du système socio politique des peuples Tchaman, à ce titre, une réadaptation en fonction des réalités coloniales, fut imposée aux peuples Tchaman, au grand dam de nos us et coutumes, rien que par la volonté du colon et dans un but d’être une substitution du rôle de Nanan, auprès de l’administration coloniale. Trop vieux pour parcourir de longue distance, le chef de village était un émissaire du Nanan auprès de l’administration coloniale, un substitut aujourd’hui de l’état auprès des villageois, nommé tout d’abord pour la mise en œuvre du plan de développement du gouvernement. Nanan, dans l’ordre contemporain de création du village, issu de nos us et coutumes, est le premier héritier, le garant de tout cet appareil sociologique, idéologique, anthropologique, qui a la lourde tâche de conduire à bien l’épanouissement de son peuple, mission assignée par nos ancêtres, aïeux, grands-pères, pères… A ce titre, il doit bénéficier de toute l’attention possible, car étant le repère, la boussole, le référentiel de notre existence, de notre devenir et de notre avenir. Le village mourra, selon le principe de l’induction historique avec le non-respect de cet homme. Maintenant, comprenons que les liens de sang, son plus forts que l’institution de la chefferie, car il prend naissance avec la création du monde, de l’individu, comme une entité réelle, dotée d’un corps, corruptible, d’un esprit avec ses facultés mentales et d’une âme immortelle, qui transcende, l’espace et le temps. Une rupture de ce lien fraternel est une atteinte, une ignorance, absolue, une annihilation de son être, de son passé (y compris celle de ses ancêtres, aïeux), et son devenir, à cela il était mieux de ne pas avoir existé, car toute la stratégie pour se maintenir en vie, pour survivre, effectuée par nos ascendances tombe à l’eau… Pensons y en privilégiant les intérêts commun du village!!! Photo : notable du village d'Abidjan Agban en 1914. #GODOBOUE #cultureafricaine #tchaman #culture #atchan @Willy l'araignée AK🌟sha

#GODOBOUE. L’institution du chef de village « Acoubêoté », ne fait pas partie de nos us et coutumes. Elle est une institution crée en 1896, vieille de 125ans, par le colon français, afin de mieux exploiter ses colonies. Elle fait partie d’une réforme du système socio politique des peuples Tchaman, à ce titre, une réadaptation en fonction des réalités coloniales, fut imposée aux peuples Tchaman, au grand dam de nos us et coutumes, rien que par la volonté du colon et dans un but d’être une substitution du rôle de Nanan, auprès de l’administration coloniale. Trop vieux pour parcourir de longue distance, le chef de village était un émissaire du Nanan auprès de l’administration coloniale, un substitut aujourd’hui de l’état auprès des villageois, nommé tout d’abord pour la mise en œuvre du plan de développement du gouvernement. Nanan, dans l’ordre contemporain de création du village, issu de nos us et coutumes, est le premier héritier, le garant de tout cet appareil sociologique, idéologique, anthropologique, qui a la lourde tâche de conduire à bien l’épanouissement de son peuple, mission assignée par nos ancêtres, aïeux, grands-pères, pères… A ce titre, il doit bénéficier de toute l’attention possible, car étant le repère, la boussole, le référentiel de notre existence, de notre devenir et de notre avenir. Le village mourra, selon le principe de l’induction historique avec le non-respect de cet homme. Maintenant, comprenons que les liens de sang, son plus forts que l’institution de la chefferie, car il prend naissance avec la création du monde, de l’individu, comme une entité réelle, dotée d’un corps, corruptible, d’un esprit avec ses facultés mentales et d’une âme immortelle, qui transcende, l’espace et le temps. Une rupture de ce lien fraternel est une atteinte, une ignorance, absolue, une annihilation de son être, de son passé (y compris celle de ses ancêtres, aïeux), et son devenir, à cela il était mieux de ne pas avoir existé, car toute la stratégie pour se maintenir en vie, pour survivre, effectuée par nos ascendances tombe à l’eau… Pensons y en privilégiant les intérêts commun du village!!! Photo : notable du village d'Abidjan Agban en 1914. #GODOBOUE #cultureafricaine #tchaman #culture #atchan @Willy l'araignée AK🌟sha

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