@ismailvadakka: Kannur International Airport is an international airport serving the city of Kannur and the North Malabar region of Kerala, #airports #kerala

ISMAIL NADAPURAM
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Tuesday 06 February 2024 07:36:59 GMT
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rajesh..mon
Rajesh. mon :
🥰🥰🥰🥰🥰❤❤❤
2024-02-17 20:35:15
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abhimelath
abhi :
🥰🥰🥰🥰🥰🥰
2024-02-06 09:19:02
0
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lettre ouverte : La pire chose qu’un enfant puisse vivre, c’est d’avoir un parent qui est là, physiquement, mais absent par son amour. Présent pour critiquer, pour rabaisser, mais jamais pour aimer, pour rassurer. Cet enfant, il grandit avec un vide immense. Parce que ce parent, censé être son refuge, devient sa plus grande blessure. Un parent qui transmet ses propres traumatismes, sans même s’en rendre compte. Comme si l’enfant portait une partie de ce fardeau, une partie de ce parent brisé. Alors qu’au fond, ce n’est pas son rôle. Un parent, c’est censé être un pilier. Un phare dans la nuit, celui qui éclaire quand tout semble sombre. Mais pour cet enfant, il n’y a pas de lumière. Et quand il devient adulte, ce poids ne disparaît pas. Il se demande sans cesse ce qu’il a fait de mal, pourquoi il n’a jamais été assez. Il porte les blessures invisibles d’un amour qui n’est jamais venu, d’une validation qu’il n’a jamais reçue. Ça se manifeste partout : dans ses relations, où il a peur d’être abandonné ; dans ses choix, où il doute constamment de sa valeur. Il apprend à avancer malgré tout, mais avec ce trou dans le cœur, ce manque qu’il essaie de combler de mille façons. Ce texte, c’est pour cet adulte. Pour te dire que ce manque, ce vide, ce n’est pas toi qui l’as créé. Tu n’avais pas à porter ces traumatismes qui n’étaient pas les tiens. Et même si c’est difficile, tu as le droit de lâcher ce poids. De ne plus attendre ce que ce parent n’a jamais su te donner. Tu peux devenir ton propre pilier, ta propre lumière. Parce que tu le mérites. #parents #enfant #poésie #citation #papa #maman
lettre ouverte : La pire chose qu’un enfant puisse vivre, c’est d’avoir un parent qui est là, physiquement, mais absent par son amour. Présent pour critiquer, pour rabaisser, mais jamais pour aimer, pour rassurer. Cet enfant, il grandit avec un vide immense. Parce que ce parent, censé être son refuge, devient sa plus grande blessure. Un parent qui transmet ses propres traumatismes, sans même s’en rendre compte. Comme si l’enfant portait une partie de ce fardeau, une partie de ce parent brisé. Alors qu’au fond, ce n’est pas son rôle. Un parent, c’est censé être un pilier. Un phare dans la nuit, celui qui éclaire quand tout semble sombre. Mais pour cet enfant, il n’y a pas de lumière. Et quand il devient adulte, ce poids ne disparaît pas. Il se demande sans cesse ce qu’il a fait de mal, pourquoi il n’a jamais été assez. Il porte les blessures invisibles d’un amour qui n’est jamais venu, d’une validation qu’il n’a jamais reçue. Ça se manifeste partout : dans ses relations, où il a peur d’être abandonné ; dans ses choix, où il doute constamment de sa valeur. Il apprend à avancer malgré tout, mais avec ce trou dans le cœur, ce manque qu’il essaie de combler de mille façons. Ce texte, c’est pour cet adulte. Pour te dire que ce manque, ce vide, ce n’est pas toi qui l’as créé. Tu n’avais pas à porter ces traumatismes qui n’étaient pas les tiens. Et même si c’est difficile, tu as le droit de lâcher ce poids. De ne plus attendre ce que ce parent n’a jamais su te donner. Tu peux devenir ton propre pilier, ta propre lumière. Parce que tu le mérites. #parents #enfant #poésie #citation #papa #maman

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