@dyl.an: if the alibi has one fan is me if it has no fans i am not on the planet #TheAlibi #Livemusic

DYLAN
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Monday 04 March 2024 17:56:43 GMT
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Comments

theresnoshadowsdancing
anna :
hey bb what about a europe tour xxxx
2024-03-04 18:00:44
67
sylvielli_
sylvi❄️⸆⸉ :
dare i say this was one of your best outfits
2024-03-04 19:45:44
60
lilly..pb
Lilly :
if the alibi had no fans, I wouldn’t be on this planet too
2024-03-04 21:59:16
26
teheannitehe
anni‼️ :
we slayed
2024-03-04 18:10:55
1
millie_xo96
𝐌𝐢𝐥𝐥𝐢𝐞 💕 :
The alibi is my favourite song at the minute I love it so much x
2024-03-04 20:17:37
3
slamsspams1
slams :
so how do we feel about playing home is where the heart is in new york 🤗🤗
2024-03-04 17:59:48
2
_ciiiio_
_ciiiio_ :
please come in italyy❤️
2024-03-04 20:27:09
2
ryder.shifts
Ryder♾️ :
This is me and bff theme song now
2024-03-04 17:59:09
2
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François Bayrou, Premier ministre français, est au cœur d’une controverse concernant des allégations de violences et d’abus sexuels au sein de l’établissement catholique Notre-Dame de Bétharram, situé dans les Pyrénées-Atlantiques. Plusieurs anciens élèves ont déposé des plaintes pour des faits présumés s’étendant des années 1950 aux années 2000. M. Bayrou, dont les enfants ont été scolarisés dans cet établissement et dont l’épouse y a enseigné le catéchisme, a affirmé à l’Assemblée nationale n’avoir “jamais été informé” de tels agissements. Il a également annoncé son intention de porter plainte pour diffamation contre les accusations le visant.   Cependant, des témoignages contradictoires ont émergé. Françoise Gullung, ancienne enseignante de mathématiques à Bétharram entre 1994 et 1996, affirme avoir alerté Mme Bayrou de ses soupçons concernant des violences au sein de l’établissement. De plus, Christian Mirande, un juge retraité ayant enquêté sur une affaire de viol impliquant un ancien directeur de l’école à la fin des années 1990, soutient avoir discuté de l’affaire avec M. Bayrou à l’époque.   Face à ces révélations, l’opposition de gauche a intensifié la pression, certains députés appelant à la démission du Premier ministre. M. Bayrou a rejeté ces appels, qualifiant les accusations de “polémiques artificielles” et réaffirmant son ignorance des faits allégués.   Le parquet de Pau poursuit actuellement son enquête sur plus d’une centaine de plaintes liées à cette affaire.
François Bayrou, Premier ministre français, est au cœur d’une controverse concernant des allégations de violences et d’abus sexuels au sein de l’établissement catholique Notre-Dame de Bétharram, situé dans les Pyrénées-Atlantiques. Plusieurs anciens élèves ont déposé des plaintes pour des faits présumés s’étendant des années 1950 aux années 2000. M. Bayrou, dont les enfants ont été scolarisés dans cet établissement et dont l’épouse y a enseigné le catéchisme, a affirmé à l’Assemblée nationale n’avoir “jamais été informé” de tels agissements. Il a également annoncé son intention de porter plainte pour diffamation contre les accusations le visant. Cependant, des témoignages contradictoires ont émergé. Françoise Gullung, ancienne enseignante de mathématiques à Bétharram entre 1994 et 1996, affirme avoir alerté Mme Bayrou de ses soupçons concernant des violences au sein de l’établissement. De plus, Christian Mirande, un juge retraité ayant enquêté sur une affaire de viol impliquant un ancien directeur de l’école à la fin des années 1990, soutient avoir discuté de l’affaire avec M. Bayrou à l’époque. Face à ces révélations, l’opposition de gauche a intensifié la pression, certains députés appelant à la démission du Premier ministre. M. Bayrou a rejeté ces appels, qualifiant les accusations de “polémiques artificielles” et réaffirmant son ignorance des faits allégués. Le parquet de Pau poursuit actuellement son enquête sur plus d’une centaine de plaintes liées à cette affaire.

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