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Soukoujou dit que c'est l'État qui alimente le tribalisme, mais il ne voit pas ce que certains jeunes Bamilékés font en Europe. Ils accusent l'État d'être à l'origine du tribalisme des Bamilékés sur les réseaux sociaux. Mais qu'en est-il de la Bass, qui boycotte les artistes d'autres régions du Cameroun ? Soukoujou n'en parle jamais, ce qui est incroyable. On pourrait en déduire que les Bamilékés ne pensent qu'à eux. Finalement, on pourrait avoir raison de dire qu'ils partagent tous le même état d'esprit. Paul Biya doit réagir rapidement, sinon la situation pourrait empirer avec certains Bamilékés qui ne s'ouvrent pas aux autres. Oui, il y a du tribalisme au Cameroun, et les Bamilékés en sont souvent accusés. C'est une triste réalité : à l'Ouest, ils refusent de vendre leurs terres sous prétexte de préserver leur identité. Mais quand les autres agissent de la même manière, ils crient au tribalisme. Personne ne trouve à redire au fait qu'ils se marient entre eux, mais lorsqu'on leur demande pourquoi ils n'acceptent pas les autres Camerounais, ils répondent qu'ils veulent protéger leur identité. N'est-ce pas aussi une forme de tribalisme ? Ils parlent de république, mais leurs comportements semblent en contradiction avec cet idéal. C'est vraiment étonnant.Soukoujou parle de homme politique, mais de qui parle-t-il exactement ? De Kamto ou de Paul Biya ? Il est important de dire la vérité aux Camerounais. D'ailleurs, en tant que chef, il ne dénonce jamais les jeunes de la Bass qui boycottent les artistes des autres régions. Il ne parle jamais non plus du tribalisme des Bamilékés sur les réseaux sociaux. Tout comme son frère Bamiléké, Kamto, il semble avoir une mémoire sélective. Ils dénoncent le tribalisme des autres, mais jamais le leur, alors qu'ils en sont les principaux acteurs au Cameroun. C'est vraiment l'hôpital qui se moque de la charité. »
Soukoujou dit que c'est l'État qui alimente le tribalisme, mais il ne voit pas ce que certains jeunes Bamilékés font en Europe. Ils accusent l'État d'être à l'origine du tribalisme des Bamilékés sur les réseaux sociaux. Mais qu'en est-il de la Bass, qui boycotte les artistes d'autres régions du Cameroun ? Soukoujou n'en parle jamais, ce qui est incroyable. On pourrait en déduire que les Bamilékés ne pensent qu'à eux. Finalement, on pourrait avoir raison de dire qu'ils partagent tous le même état d'esprit. Paul Biya doit réagir rapidement, sinon la situation pourrait empirer avec certains Bamilékés qui ne s'ouvrent pas aux autres. Oui, il y a du tribalisme au Cameroun, et les Bamilékés en sont souvent accusés. C'est une triste réalité : à l'Ouest, ils refusent de vendre leurs terres sous prétexte de préserver leur identité. Mais quand les autres agissent de la même manière, ils crient au tribalisme. Personne ne trouve à redire au fait qu'ils se marient entre eux, mais lorsqu'on leur demande pourquoi ils n'acceptent pas les autres Camerounais, ils répondent qu'ils veulent protéger leur identité. N'est-ce pas aussi une forme de tribalisme ? Ils parlent de république, mais leurs comportements semblent en contradiction avec cet idéal. C'est vraiment étonnant.Soukoujou parle de homme politique, mais de qui parle-t-il exactement ? De Kamto ou de Paul Biya ? Il est important de dire la vérité aux Camerounais. D'ailleurs, en tant que chef, il ne dénonce jamais les jeunes de la Bass qui boycottent les artistes des autres régions. Il ne parle jamais non plus du tribalisme des Bamilékés sur les réseaux sociaux. Tout comme son frère Bamiléké, Kamto, il semble avoir une mémoire sélective. Ils dénoncent le tribalisme des autres, mais jamais le leur, alors qu'ils en sont les principaux acteurs au Cameroun. C'est vraiment l'hôpital qui se moque de la charité. »

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