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goatgonzalez
Danny Gonzalez :
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2024-07-05 15:11:33
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adwcs
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shadowmoon1991
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abenamarmorenomar
Abenamar Moreno Martinez :
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2024-07-12 08:38:08
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ginabiina1
ginabiina1 :
😊😊😊
2024-07-14 00:22:43
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La phrase “L’adversaire véritable n’est pas celui que nous combattons” a été prononcée par le roi #HassanII lors d’une interview, soulignant sa vision stratégique et psychologique des conflits.   Ce principe a guidé son approche dans plusieurs dossiers majeurs, en particulier celui du #Sahara marocain, une question cruciale pour l’unité nationale et la souveraineté du royaume. Le conflit autour du Sahara occidental, qui a commencé après le départ des #Espagnols en 1975, a marqué une étape déterminante de son règne. Face aux revendications du #Polisario, soutenu par l’#Algérie, Hassan II a orchestré une réponse politique, diplomatique et symbolique avec la #MarcheVerte. Cette mobilisation pacifique de 350 000 Marocains vers le Sahara a envoyé un message fort à la communauté internationale, tout en consolidant l’unité nationale. Dans ce contexte, la phrase de Hassan II traduit une conviction que la victoire, qu’elle soit militaire ou diplomatique, est la seule issue pour préserver les intérêts du pays. Sur le plan #diplomatique, Hassan II a su maintenir une position ferme tout en œuvrant pour un dialogue international. Il a défendu la cause marocaine devant des instances comme l’#ONU et s’est appuyé sur des alliances stratégiques avec les grandes puissances. Pour lui, gagner une guerre ne se limitait pas à un affrontement armé, mais englobait aussi la maîtrise des arènes politiques et médiatiques. Cette vision s’étendait à d’autres aspects de son règne, marqués par des tensions internes et des tentatives de coup d’État. Hassan II a survécu à deux #putschs majeurs en 1971 et 1972, consolidant son pouvoir avec une poigne de fer. Son approche rigoureuse, parfois critiquée pour son autoritarisme, visait à assurer la stabilité du pays dans un contexte régional et international instable. La phrase trouve également un écho dans son style de gouvernance, souvent décrit comme celui d’un stratège calculateur, capable d’anticiper les mouvements adverses. Pour Hassan II, gagner une guerre signifiait aussi remporter les batailles de l’opinion publique, tant au niveau national qu’international. Il a souvent utilisé sa rhétorique brillante et ses talents d’orateur pour galvaniser son peuple et défendre les intérêts marocains sur la scène mondiale. Aujourd’hui, cette citation reste gravée dans la mémoire collective comme un symbole de la détermination royale. Elle reflète la doctrine d’un leader qui, malgré les critiques sur son exercice du pouvoir, a laissé un héritage stratégique durable. Ce pragmatisme continue d’inspirer la politique marocaine, en particulier dans la gestion des questions territoriales et diplomatiques. #HassanII #SaharaMarocain #MarcheVerte #Leadership #Politique #Stratégie #Maroc #Histoire
La phrase “L’adversaire véritable n’est pas celui que nous combattons” a été prononcée par le roi #HassanII lors d’une interview, soulignant sa vision stratégique et psychologique des conflits. Ce principe a guidé son approche dans plusieurs dossiers majeurs, en particulier celui du #Sahara marocain, une question cruciale pour l’unité nationale et la souveraineté du royaume. Le conflit autour du Sahara occidental, qui a commencé après le départ des #Espagnols en 1975, a marqué une étape déterminante de son règne. Face aux revendications du #Polisario, soutenu par l’#Algérie, Hassan II a orchestré une réponse politique, diplomatique et symbolique avec la #MarcheVerte. Cette mobilisation pacifique de 350 000 Marocains vers le Sahara a envoyé un message fort à la communauté internationale, tout en consolidant l’unité nationale. Dans ce contexte, la phrase de Hassan II traduit une conviction que la victoire, qu’elle soit militaire ou diplomatique, est la seule issue pour préserver les intérêts du pays. Sur le plan #diplomatique, Hassan II a su maintenir une position ferme tout en œuvrant pour un dialogue international. Il a défendu la cause marocaine devant des instances comme l’#ONU et s’est appuyé sur des alliances stratégiques avec les grandes puissances. Pour lui, gagner une guerre ne se limitait pas à un affrontement armé, mais englobait aussi la maîtrise des arènes politiques et médiatiques. Cette vision s’étendait à d’autres aspects de son règne, marqués par des tensions internes et des tentatives de coup d’État. Hassan II a survécu à deux #putschs majeurs en 1971 et 1972, consolidant son pouvoir avec une poigne de fer. Son approche rigoureuse, parfois critiquée pour son autoritarisme, visait à assurer la stabilité du pays dans un contexte régional et international instable. La phrase trouve également un écho dans son style de gouvernance, souvent décrit comme celui d’un stratège calculateur, capable d’anticiper les mouvements adverses. Pour Hassan II, gagner une guerre signifiait aussi remporter les batailles de l’opinion publique, tant au niveau national qu’international. Il a souvent utilisé sa rhétorique brillante et ses talents d’orateur pour galvaniser son peuple et défendre les intérêts marocains sur la scène mondiale. Aujourd’hui, cette citation reste gravée dans la mémoire collective comme un symbole de la détermination royale. Elle reflète la doctrine d’un leader qui, malgré les critiques sur son exercice du pouvoir, a laissé un héritage stratégique durable. Ce pragmatisme continue d’inspirer la politique marocaine, en particulier dans la gestion des questions territoriales et diplomatiques. #HassanII #SaharaMarocain #MarcheVerte #Leadership #Politique #Stratégie #Maroc #Histoire

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