@sunkissedcarter: Cabt sleep

Carter Wells
Carter Wells
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Region: US
Friday 12 July 2024 08:29:52 GMT
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Comments

theylovebigk.1
TheyLOVEbigK🫶🏼❤️ :
I would of lost so many 🤣😭 let me play
2024-07-29 11:28:01
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Chers collègues, chers compatriotes, C’est avec une profonde inquiétude que je prends la parole aujourd’hui. Une vidéo circule depuis quelques jours, montrant des jeunes garçons de nos quartiers de Libreville, armés non pas de livres ni d’outils de travail, mais de bouteilles qu’ils se lancent les uns contre les autres, au risque de se blesser gravement. Cette scène m’a bouleversé, comme elle a bouleversé nombre de nos concitoyens. Ces images ne sont pas seulement choquantes : elles sont le reflet d’un malaise social grandissant, d’un sentiment d’abandon et d’une jeunesse qui cherche à s’exprimer, mais qui, faute de repères et d’encadrement, choisit la voie de la violence. Je m’inquiète, oui, pour la sécurité de nos quartiers. Quand nos enfants se battent avec des bouteilles dans la rue, ce sont les familles entières qui tremblent, ce sont les habitants qui n’osent plus sortir de chez eux. La violence d’hier devient la criminalité de demain si nous ne réagissons pas. Mais au-delà de la sécurité immédiate, c’est l’avenir même de notre jeunesse qui est en danger. Comment construire le Gabon de demain si notre jeunesse, au lieu de recevoir une éducation de qualité, un emploi décent, et des loisirs sains, se perd dans la violence des rues ? Je lance ici un appel solennel au gouvernement : Renforçons la sécurité dans nos quartiers par une présence policière plus proche et plus dissuasive. Mais surtout, investissons dans la prévention : créons des espaces culturels, sportifs et éducatifs accessibles à tous. Mettons en place des programmes de sensibilisation et d’encadrement pour aider nos jeunes à canaliser leur énergie vers des activités constructives. Mes chers collègues, la sécurité ne se réduit pas à la répression. Elle se construit par l’éducation, l’emploi, la culture et le dialogue. Si nous n’offrons pas d’alternatives à notre jeunesse, alors nous serons complices, malgré nous, des dérives que nous dénonçons aujourd’hui. Je refuse que Libreville et nos quartiers deviennent des zones de peur et de violence. Je refuse que nos enfants grandissent avec l’idée que la rue est leur seule école. Ensemble, réagissons, et rendons à notre jeunesse l’espérance qu’elle mérite. Je vous reme
Chers collègues, chers compatriotes, C’est avec une profonde inquiétude que je prends la parole aujourd’hui. Une vidéo circule depuis quelques jours, montrant des jeunes garçons de nos quartiers de Libreville, armés non pas de livres ni d’outils de travail, mais de bouteilles qu’ils se lancent les uns contre les autres, au risque de se blesser gravement. Cette scène m’a bouleversé, comme elle a bouleversé nombre de nos concitoyens. Ces images ne sont pas seulement choquantes : elles sont le reflet d’un malaise social grandissant, d’un sentiment d’abandon et d’une jeunesse qui cherche à s’exprimer, mais qui, faute de repères et d’encadrement, choisit la voie de la violence. Je m’inquiète, oui, pour la sécurité de nos quartiers. Quand nos enfants se battent avec des bouteilles dans la rue, ce sont les familles entières qui tremblent, ce sont les habitants qui n’osent plus sortir de chez eux. La violence d’hier devient la criminalité de demain si nous ne réagissons pas. Mais au-delà de la sécurité immédiate, c’est l’avenir même de notre jeunesse qui est en danger. Comment construire le Gabon de demain si notre jeunesse, au lieu de recevoir une éducation de qualité, un emploi décent, et des loisirs sains, se perd dans la violence des rues ? Je lance ici un appel solennel au gouvernement : Renforçons la sécurité dans nos quartiers par une présence policière plus proche et plus dissuasive. Mais surtout, investissons dans la prévention : créons des espaces culturels, sportifs et éducatifs accessibles à tous. Mettons en place des programmes de sensibilisation et d’encadrement pour aider nos jeunes à canaliser leur énergie vers des activités constructives. Mes chers collègues, la sécurité ne se réduit pas à la répression. Elle se construit par l’éducation, l’emploi, la culture et le dialogue. Si nous n’offrons pas d’alternatives à notre jeunesse, alors nous serons complices, malgré nous, des dérives que nous dénonçons aujourd’hui. Je refuse que Libreville et nos quartiers deviennent des zones de peur et de violence. Je refuse que nos enfants grandissent avec l’idée que la rue est leur seule école. Ensemble, réagissons, et rendons à notre jeunesse l’espérance qu’elle mérite. Je vous reme

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