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Aaron and Felicity
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Tuesday 13 August 2024 18:48:55 GMT
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rach_alley
Rach :
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2024-08-13 19:00:43
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PAMELO MOUNKA  Ce n'est que ma secrétaire  1982 *André Bemba-Bingui, fils de Jules Bingui et Joséphine Loubélo, naît et grandit à Brazzaville dans le quartier de Poto-Poto. Le jeune André est scolarisé à l’école primaire Saint-Vincent puis au lycée Chaminade de Brazzaville. Il est chantre à partir de 1956 dans la chorale Sacré Chœur de la cathédrale de la capitale. Il se rend par ailleurs fréquemment au bar musical « Faignond » situé à Poto-Poto. À cette époque, les surnoms d’André sont « Beda », « Bendol » ou encore « Pablito », ce dernier étant une référence à sa connaissance de la langue espagnole. C’est sous le nom de scène « Pablito » qu’il participe à ses premières formations musicales que sont les groupes de quartier Negro City et la Jeunesse Musicale du Congo. En 1959, à l’âge de quatorze ans, Pablito rencontre à Kinshasa le musicien Tabu Ley Rochereau, par l’intermédiaire d’un membre de sa famille qui avait été scolarisé à Kinshasa avec le musicien. Pablito commence à composer pour Tabu Ley, qui s’affirme rapidement comme son mentor musical. Entre 1959 et 1962 principalement, Pablito se déplace régulièrement entre Brazzaville et Kinshasa pour côtoyer Tabu Ley. Tout au long de sa carrière, la relation entre Pablito et son mentor restera forte et faite tout à la fois d’estime, de collaboration et parfois de rivalité. En avril 1964, Pablito fait défection des Bantous et traverse à nouveau le Pool Malebo pour intégrer à Kinshasa le groupe African Fiesta, tout récemment formé par Tabu Ley et d’autres musiciens qui dissidents de l’African Jazz du Grand Kallé. L’expérience kinoise d’African Fiesta est pour Pablito l’occasion de s’exercer à un rythme d’écriture et de représentation intense — près de soixante titres sont recensés sur la période d’avril à novembre 1964 — et de construire son style de composition propre. Ce style repose principalement sur la remise en question du rythme relativement lent des compositions de cette époque, Pablito proposant des ruptures de rythme et une cadence accélérée inspirée de la pachanga et de la rumba cubaine. Cette période prolifique prend fin en novembre 1964, du fait de la décision d’expulsion du Congo-Kinshasa des ressortissants du Congo-Brazzaville prise à l’été de la même année par le gouvernement de Kinshasa. Pamelo Mounka, au même titre que bon nombre de ses compatriotes musiciens exerçant à Kinshasa, regagne Brazzaville. Rentré de Kinshasa en novembre 1964, Pablito réintègre les Bantous de la Capitale, tout comme les autres artistes issus de l’African Fiesta comme le chanteur Célestin Nkounka (1964) et le saxophoniste Nino Malapet (1966). Rencontrant des difficultés de droits d’auteur puisque ceux-ci sont reversés par erreur à un musicien cubain homonyme, Pablito se décide en 1965 de changer de nom de scène : il sera désormais Pamelo Mounka. Ses premières compositions en tant que Pamelo Mounka sont Camitina et Patience. En 1968, Pamelo Mounka compose et interprète Masuwa, chanson pionnière du style soukous qui rencontre un succès très important au Congo et marquera durablement la carrière du musicien. En 1970, c’est au tour de la chanson Amour folie Clara, que le musicien présentait comme sa préférée, de marquer les esprits par les innovations de son arrangement et de sa rythmique. Cette deuxième grande période de Pamelo Mounka au sein des Bantous s’accompagne en 1969 du projet Les Fantômes, formation musicale brève mais productive ; les principales chansons écrites durant cette expérience sont Petite Lola, L’oiseau rare, Papa, Séjour, Kati Bebi et Bebi. En novembre 1972, l’orchestre des Bantous de la Capitale connaît à nouveau une période de crise. Elle prend cette fois-ci la forme d’une scission en deux orchestres : l’orchestre du Peuple du trio Cépakos (réunissant Célestin NKouka, Pamelo Mounka et Kosmos Moutouari) d’une part, et l’orchestre Les Nzoys (composé d’Edo Nganga, Théo Bitsikou et Alphonse Mpassi Mermans). L’expérience du trio Cépakos, qui tire son nom des premières
PAMELO MOUNKA Ce n'est que ma secrétaire 1982 *André Bemba-Bingui, fils de Jules Bingui et Joséphine Loubélo, naît et grandit à Brazzaville dans le quartier de Poto-Poto. Le jeune André est scolarisé à l’école primaire Saint-Vincent puis au lycée Chaminade de Brazzaville. Il est chantre à partir de 1956 dans la chorale Sacré Chœur de la cathédrale de la capitale. Il se rend par ailleurs fréquemment au bar musical « Faignond » situé à Poto-Poto. À cette époque, les surnoms d’André sont « Beda », « Bendol » ou encore « Pablito », ce dernier étant une référence à sa connaissance de la langue espagnole. C’est sous le nom de scène « Pablito » qu’il participe à ses premières formations musicales que sont les groupes de quartier Negro City et la Jeunesse Musicale du Congo. En 1959, à l’âge de quatorze ans, Pablito rencontre à Kinshasa le musicien Tabu Ley Rochereau, par l’intermédiaire d’un membre de sa famille qui avait été scolarisé à Kinshasa avec le musicien. Pablito commence à composer pour Tabu Ley, qui s’affirme rapidement comme son mentor musical. Entre 1959 et 1962 principalement, Pablito se déplace régulièrement entre Brazzaville et Kinshasa pour côtoyer Tabu Ley. Tout au long de sa carrière, la relation entre Pablito et son mentor restera forte et faite tout à la fois d’estime, de collaboration et parfois de rivalité. En avril 1964, Pablito fait défection des Bantous et traverse à nouveau le Pool Malebo pour intégrer à Kinshasa le groupe African Fiesta, tout récemment formé par Tabu Ley et d’autres musiciens qui dissidents de l’African Jazz du Grand Kallé. L’expérience kinoise d’African Fiesta est pour Pablito l’occasion de s’exercer à un rythme d’écriture et de représentation intense — près de soixante titres sont recensés sur la période d’avril à novembre 1964 — et de construire son style de composition propre. Ce style repose principalement sur la remise en question du rythme relativement lent des compositions de cette époque, Pablito proposant des ruptures de rythme et une cadence accélérée inspirée de la pachanga et de la rumba cubaine. Cette période prolifique prend fin en novembre 1964, du fait de la décision d’expulsion du Congo-Kinshasa des ressortissants du Congo-Brazzaville prise à l’été de la même année par le gouvernement de Kinshasa. Pamelo Mounka, au même titre que bon nombre de ses compatriotes musiciens exerçant à Kinshasa, regagne Brazzaville. Rentré de Kinshasa en novembre 1964, Pablito réintègre les Bantous de la Capitale, tout comme les autres artistes issus de l’African Fiesta comme le chanteur Célestin Nkounka (1964) et le saxophoniste Nino Malapet (1966). Rencontrant des difficultés de droits d’auteur puisque ceux-ci sont reversés par erreur à un musicien cubain homonyme, Pablito se décide en 1965 de changer de nom de scène : il sera désormais Pamelo Mounka. Ses premières compositions en tant que Pamelo Mounka sont Camitina et Patience. En 1968, Pamelo Mounka compose et interprète Masuwa, chanson pionnière du style soukous qui rencontre un succès très important au Congo et marquera durablement la carrière du musicien. En 1970, c’est au tour de la chanson Amour folie Clara, que le musicien présentait comme sa préférée, de marquer les esprits par les innovations de son arrangement et de sa rythmique. Cette deuxième grande période de Pamelo Mounka au sein des Bantous s’accompagne en 1969 du projet Les Fantômes, formation musicale brève mais productive ; les principales chansons écrites durant cette expérience sont Petite Lola, L’oiseau rare, Papa, Séjour, Kati Bebi et Bebi. En novembre 1972, l’orchestre des Bantous de la Capitale connaît à nouveau une période de crise. Elle prend cette fois-ci la forme d’une scission en deux orchestres : l’orchestre du Peuple du trio Cépakos (réunissant Célestin NKouka, Pamelo Mounka et Kosmos Moutouari) d’une part, et l’orchestre Les Nzoys (composé d’Edo Nganga, Théo Bitsikou et Alphonse Mpassi Mermans). L’expérience du trio Cépakos, qui tire son nom des premières

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