@ramosh5716: faqeer hm tyri chaht ky.....🥰🥰#fypシ゚viral #ramosh5716 #Ramoshkhan

Ramosh khan
Ramosh khan
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Thursday 31 October 2024 14:29:35 GMT
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chonu9207
Chonu :
pretty
2024-10-31 18:11:19
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amir.khan0227
804 Amir Khan :
nice
2024-10-31 15:00:54
0
usman__khan848
U🌠k :
so beautiful 😍
2024-10-31 14:33:23
0
tahir.nadeem.shah
Tahir Nadeem Shahzad :
🥰🥰 pretty queen
2024-10-31 14:54:44
0
ch.shb_
Fan of RAMOSH KHAN❤️ :
Kya song 🎧 hai 👌👌👌
2024-10-31 14:55:27
0
jassam.khan925
Jassam Khan925 :
Aa🥰
2024-10-31 14:35:15
0
zainalishah808
Hasnainalishah51214 :
🥰🥰🥰
2024-10-31 18:59:56
0
itsmeatiii
loyal 💗🥰💕❣️ :
🥰
2024-10-31 18:47:47
0
chumar9831
ch umar 🫶 sahiwal :
🥰🥰🥰🥰
2024-10-31 18:09:30
0
luqman.khan832
Luqman Khan :
🥰🥰🥰
2024-10-31 17:14:47
0
fahadkings5911
Fahad.5911 :
🥰🥰🥰
2024-10-31 17:12:56
0
princeabc12
prince :
🥰
2024-10-31 17:09:07
0
bhatti3000
Abdullah :
🥰🥰
2024-10-31 15:30:20
0
kokowaseemjalal
KOKO :
🥰🥰🥰
2024-10-31 15:16:56
0
faisusheikh118
Faisal Sheikh 💫❤️ :
🥺🥺
2024-10-31 15:01:49
0
noman.mogal1
Noman Mogal :
🥰🥰
2024-10-31 14:47:43
0
asif___khan303
نیازی😍 :
⭐💫✨
2024-10-31 14:39:57
0
aliirshad120
irshad-ahmed😎 :
🥰🥰🥰
2024-10-31 14:38:11
0
innocent39000
Mubashir ❣️🌹❣️🤫🤫 :
🥰🥰🥰
2024-10-31 14:37:35
0
chshab967
Ali💔گجرNo attitude 🚬🤫 :
😏😌😏
2024-10-31 14:36:33
0
rukhsar_writes553
★꧁༒Brøkêñ--0d☬༒꧂ :
🚖 nu 2
2024-10-31 14:37:55
0
dr__kala05
ڈ ا کـــٹــر __کــــالا :
@Ramosh khan
2024-10-31 18:58:11
0
awais.official38
Awais :
🥰🥰🥰
2024-10-31 18:53:19
0
shan.baloch296
Shan Baloch ✌️😘 :
so sweet 🥰
2024-10-31 15:21:52
0
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QUI S'EN SOUVIENT ?  ADAMA CHAMPION 1981 * Le spectacle qui a rendu l’Ensemble Kotéba célèbre dans toute l’Afrique de l’Ouest, en 1981, s’appelle Adama champion. C’est l’histoire d’un jeune footballeur. J’ai demandé aux jeunes de danser le foot, les amortis, les dribbles, les reprises de volée, c’était du hip-hop avant la lettre. La révolution ! On a aussi traité ce sujet avec un regard sur l’environnement social, la récupération du talent d’Adama par les politiciens pour leur campagne électorale. La comédie musicale est aussi une comédie de la vie. » On comprend que les événements politiques qui ont secoué la Côte d’Ivoire ces dernières années n’ont pu laisser Souleymane Koly indifférent. C’est ainsi qu’il s’est intéressé à la dernière pièce de son compatriote ivoirien Koffi Kwahulé, auteur d’Histoires de soldats, dont le sujet est en prise directe avec l’actualité. Cocody Johnny est en effet située dans une « cour » abidjanaise du quartier populaire de Treichville, où cohabitent des Maliens, des Sénégalais, des Burkinabè, des Ghanéens et des Ivoiriens. « Nous avons voulu montrer comment fonctionne une cour, les querelles, les amours et les désamours, les petites combines, mais surtout comment ce peuple d’origine mélangée crée au quotidien une nouvelle façon de vivre, une nouvelle culture commune. » Perfectionniste jusque dans les détails de son message artistique, Koly s’est débrouillé pour que les acteurs soient de la même nationalité que les personnages qu’ils campent. « Malgré les problèmes que nous connaissons, nous sommes encore capables de jouer ensemble », commente-t-il. La coopération interafricaine s’étend à l’équipe technique : la scénographie et les costumes sont signés par le Béninois Alougbine Dine, la musique a été supervisée par le Congolais Ray Lema. L’argument ? Une histoire douce-amère. Danseur et chanteur talentueux, Johnny, dont on ne connaît pas le père, est le fils de tout le monde dans la cour, propriété du Vieux Jeannot. La femme et les enfants de Sissoko repartent au pays, car leur boutique a été pillée et détruite par des émeutiers. Lui ne partira pas : « Qu’est-ce que j’irais faire là-bas, je ne connais personne. Je suis d’Abidjan, aujourd’hui. » Mais tout le monde souffre de la crise. Comment faire pour payer le loyer ? Rama, la fiancée de Johnny, se « dévoue » pour faire patienter le Vieux Jeannot… au grand dam du jeune homme. Arrive un producteur, à la recherche d’une nouvelle star. Mais Cocody Johnny ne veut plus être artiste, il préfère l’argent facile, à ses risques et périls. La tentation des mauvais garçons est au coin de la rue… Dans un nouchi (argot abidjanais) qui fait se plier de rire tous ceux qui connaissent Treichville, les comédiens racontent leur vie avec humour. Ils passent du chant sahélien aux polyphonies du Sud, de la salsa ivoirienne au logobi (danses de la rue) avec une énergie qui soulève les spectateurs. Koly se défend de faire du théâtre engagé : « Je suis un créateur qui utilise la réalité d’un peuple. Rama n’est pas une prostituée, elle sait que le Vieux Jeannot la lorgne au passage, alors elle fait ce qu’il faut pour sauver tout le monde. C’est ça, la vraie vie. » #àtous #@àtous #RÉTROFUNCK #RÉTROAFRIQUE #rétroviseurs
QUI S'EN SOUVIENT ? ADAMA CHAMPION 1981 * Le spectacle qui a rendu l’Ensemble Kotéba célèbre dans toute l’Afrique de l’Ouest, en 1981, s’appelle Adama champion. C’est l’histoire d’un jeune footballeur. J’ai demandé aux jeunes de danser le foot, les amortis, les dribbles, les reprises de volée, c’était du hip-hop avant la lettre. La révolution ! On a aussi traité ce sujet avec un regard sur l’environnement social, la récupération du talent d’Adama par les politiciens pour leur campagne électorale. La comédie musicale est aussi une comédie de la vie. » On comprend que les événements politiques qui ont secoué la Côte d’Ivoire ces dernières années n’ont pu laisser Souleymane Koly indifférent. C’est ainsi qu’il s’est intéressé à la dernière pièce de son compatriote ivoirien Koffi Kwahulé, auteur d’Histoires de soldats, dont le sujet est en prise directe avec l’actualité. Cocody Johnny est en effet située dans une « cour » abidjanaise du quartier populaire de Treichville, où cohabitent des Maliens, des Sénégalais, des Burkinabè, des Ghanéens et des Ivoiriens. « Nous avons voulu montrer comment fonctionne une cour, les querelles, les amours et les désamours, les petites combines, mais surtout comment ce peuple d’origine mélangée crée au quotidien une nouvelle façon de vivre, une nouvelle culture commune. » Perfectionniste jusque dans les détails de son message artistique, Koly s’est débrouillé pour que les acteurs soient de la même nationalité que les personnages qu’ils campent. « Malgré les problèmes que nous connaissons, nous sommes encore capables de jouer ensemble », commente-t-il. La coopération interafricaine s’étend à l’équipe technique : la scénographie et les costumes sont signés par le Béninois Alougbine Dine, la musique a été supervisée par le Congolais Ray Lema. L’argument ? Une histoire douce-amère. Danseur et chanteur talentueux, Johnny, dont on ne connaît pas le père, est le fils de tout le monde dans la cour, propriété du Vieux Jeannot. La femme et les enfants de Sissoko repartent au pays, car leur boutique a été pillée et détruite par des émeutiers. Lui ne partira pas : « Qu’est-ce que j’irais faire là-bas, je ne connais personne. Je suis d’Abidjan, aujourd’hui. » Mais tout le monde souffre de la crise. Comment faire pour payer le loyer ? Rama, la fiancée de Johnny, se « dévoue » pour faire patienter le Vieux Jeannot… au grand dam du jeune homme. Arrive un producteur, à la recherche d’une nouvelle star. Mais Cocody Johnny ne veut plus être artiste, il préfère l’argent facile, à ses risques et périls. La tentation des mauvais garçons est au coin de la rue… Dans un nouchi (argot abidjanais) qui fait se plier de rire tous ceux qui connaissent Treichville, les comédiens racontent leur vie avec humour. Ils passent du chant sahélien aux polyphonies du Sud, de la salsa ivoirienne au logobi (danses de la rue) avec une énergie qui soulève les spectateurs. Koly se défend de faire du théâtre engagé : « Je suis un créateur qui utilise la réalité d’un peuple. Rama n’est pas une prostituée, elle sait que le Vieux Jeannot la lorgne au passage, alors elle fait ce qu’il faut pour sauver tout le monde. C’est ça, la vraie vie. » #àtous #@àtous #RÉTROFUNCK #RÉTROAFRIQUE #rétroviseurs

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