𝑬𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 (7) de la 𝑷𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 6 : ““La Résistance Oubliée des Guerriers de la Chaouïa 💥🕌 #PourToi” ; dernier sang 🇲🇦. La résistance héroïques des chefs arabes ✨ La région de Casablanca à feu 🔥 et à sang” 🌍🔥”. 𖣔𝑮𝑳𝑶𝑰𝑹𝑬 𝑷𝑨𝑹𝑴𝑰 𝑳𝑬𝑺 𝑵𝑨𝑻𝑰𝑶𝑵𝑺𖣔 ❂ 𝑴𝒂𝒓𝒐𝒄. 𝑳𝒂 𝒈𝒖𝒆𝒓𝒓𝒆 𝒐𝒖𝒃𝒍𝒊é𝒆. 𝟏𝟗𝟎𝟕-𝟏𝟗𝟑𝟒. ❂ 𝑭𝒊𝒍𝒎 à 𝒆𝒑𝒊𝒔𝒐𝒅𝒆𝒔. 𝑺𝒆𝒓𝒊𝒂𝒍. Rivalité nobiliaire et succession princière (2). Totum Bellum. Heureux celui dont la mémoire repose en paix. Guerre de la Chaouïa. Genocide de Sid Ghlemi et résistance Béni Snassen #pourtoii #fypシ゚viral #Histoiremaroc #civilisation I͟͞n͟͞t͟͞r͟͞o͟͞d͟͞u͟͞c͟͞t͟͞i͟͞o͟͞n͟͞ ͟͞:͟͞ ͟͞▶͟͞️͟͟͞͞ (voir👁️‍🗨️ page TikTok) P͟͞r͟͞o͟͞l͟͞o͟͞g͟͞u͟͞e͟͞ ͟͞:͟͞ ͟͞▶͟͞️͟͟͞͞ (voir👁️‍🗨️ page TikTok) P͟͞a͟͞r͟͞t͟͞i͟͞e͟͞ ͟͞1͟͞ ͟͞:͟͞ ͟͞▶͟͞️͟͟͞͞(voir👁️‍🗨️ page TikTok) P͟͞a͟͞r͟͞t͟͞i͟͞r͟͞ ͟͞2͟͞:͟͞ ͟͞▶͟͞️͟͞ (voir👁️‍🗨️ page TikTok) P͟͞a͟͞r͟͞t͟͞i͟͞r͟͞ ͟͞3:▶️ ͟͞@R͟͞enaissanceMau͟͞r͟͞e͟͞By1001 P͟͞a͟͞r͟͞t͟͞i͟͞r͟͞ 4:▶️@R͟͞enaissanceMau͟͞r͟͞e͟͞B P͟͞a͟͞r͟͞t͟͞i͟͞r͟͞ 5:▶️ Histoire occultée de la résistance arabe au Maroc La guerre de la Chaouïa (1907-1914), longtemps étouffée par l’histoire officielle, incarne une résistance héroïque menée par des chefs de guerre marocains tels que le Cheikh Mohammed ben Et-Tayyeb El-Bou 3Azzaoui , Hajj Hammou El Hrizi, M’Hamed Al Tri3i Doukkali, le caïd El-Qourchi Ed-Daoudi ou Ali ben El-Hamri Ez-Zraoui. Ou bien le chef berbère, alors engagé dès les premiers mois du conflit : Moha Ou Hammou Zayani. « La campagne du général d'Amade dans le pays des Chaouïa marque une étape de l'évolution de l'Afrique… Le long drame n'est certes pas terminé, mais l'histoire enregistrera la victoire du général d'Amade comme un nouvel élément de la chaîne dont le premier anneau fut forgé par Charles-Martel dans la plaine de Tours. » Croisade des temps modernes De cette insertion énoncée avec une froide assurance par Reginald Rankin alors correspondant du Times en 1909. Il émane une vérité voilée. Une intention bien occultée bien plus vaste qu’une simple campagne militaire. Sous le prétexte d’apporter civilisation et ordre. L’armée française révèle un fanatisme chrétiens venant alimenter une vielle rancœur médiévale. Pour lui, chaque bataille gagnée par l’armée française dans ces terres insoumises rappelait une croisade des temps modernes, un écho lointain de la victoire de Charles Martel à Tours. Face à cette invasion qu’il considérait comme une insulte à l’Islam, le Sultan Moulay Hafid, encore fragile sur son trône, invoqua le djihad. Un appel vibrant, touchant le cœur des guerriers de la Chaouïa. Les hommes, chevauchant à travers les plaines, leurs mousquets prêts à parler pour eux. Le cri de “Dieu est grand” déchirait le silence des nuits désertiques, annonçant des attaques surprises sur les colonnes françaises. Les guerriers de la Chaouïa combattaient avec une rage viscérale, luttant contre des armes modernes avec des sabres, des fusils anciens et un courage indomptable. Ils connaissaient le terrain mieux que quiconque, surgissant des collines pour frapper avant de disparaître dans les ombres. Le Capitaine Grasset, dans son rapport, rendait hommage à une pénétration chèrement acquise, écrivant : « Mais l’honneur de la France exigeait de pénibles sacrifices et son drapeau a pu, à la fin, être porté victorieusement au milieu d’un peuple justement réputé pour sa bravoure. » Ces mots, empreints de respect pour l’adversaire, rappellent que les Chaouïa, bien au-delà de leur résistance face à la France, portaient en eux l’héritage d’un passé glorieux, forgé à l’ombre des Berghouata. La dénomination de “guerre de la Chaouia” pour le conflit de 1907-1914 englobait non seulement les tribus de la région de la Chaouia, mais également celles des Doukkala, Tadla, Abda, Rahmna, Zaër, et d’autres. Cette classification s’appuyait sur des liens culturels et historiques communs entre ces tribus, souvent désignées collectivement par le terme Haouz. @banuhilalmoroccan @AbdAllah 🇲🇦🇲🇦🇲🇦 - @moorishrenaissance.1001