@skincarerenewedllc: You’ve got questions I’ve got answers, many of you has asked me about this, so let’s talk about it! #cleansing #facialoil #palmers #review #ninapool #skincare #cleanskin

Angelmarie
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Monday 20 January 2025 11:56:27 GMT
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Comments

emilyberke_
ylime :
how many times a week should i oil cleanse?
2025-02-10 20:00:45
1
janiebain
janiebain :
The price has jumped so high on this - Amazon $70
2025-01-21 15:34:39
1
jacobeyyerington
Jacobey Yerington :
what about for acne prone skin?
2025-01-22 17:42:18
0
sailormoon514
sailormoon514 :
Do you wash with oil face wash then wash with a gentle cleanser after?
2025-02-19 16:42:47
1
lorie.d32
Lorien :
Do u have to double cleanse using this?
2025-02-14 02:50:55
1
juliepar73
Julieparsons :
we can't get this in the uk
2025-01-21 13:44:22
0
nativepride1973
🪶NativePride1973 🪶 :
Can you help us find where to purchase this product? Thank you
2025-01-21 19:29:44
1
shlomitshakisiaki
shlomitshakisiaki :
In Greece also we don’t have it
2025-01-21 14:30:07
1
jgngarcia
Norma G.- Beauty & Lifestyle :
Love watching your reviews . Thx
2025-01-26 23:29:08
1
sinnsangie
sinnsangie :
I’ve never used oil. Do I just rub it in with my fingers?
2025-01-21 01:06:16
0
cece9599
cece9599 :
How is on sensitive skin roseaea?
2025-01-21 14:32:29
0
bonnie.sanhez
Bunny Lebanon :
I use it at night so I don’t have to rinse it off to let it seep in my skin.
2025-01-31 19:22:22
1
sweetbun50
Jen :
Ive been using it gor only 3days and my skin is soft and looking so hydrated!
2025-01-23 02:39:36
0
lisa.hutchinson89
Lisa Hutchinson :
I have oil cleaner too. love it.
2025-01-23 00:26:14
0
cheriecklesthomen
Cheri Eckles Thomen :
Do you wash it off with a product afterwards?
2025-01-21 23:14:30
0
debbiecapital
Debbie Motzkin :
following
2025-01-22 17:34:40
0
moonlight2123
Moonlight :
This is acne safe please reply?
2025-01-22 03:57:41
0
cipresmichelle1
Aquarius4real :
What other product would work the same as palmers?
2025-01-20 17:50:44
0
freeda1119
freeda1119 :
What if you have combination skin. The oily t zone.
2025-01-24 03:30:29
0
user339626370
Erika Garcia :
I can't find it anywhere
2025-01-20 12:45:24
0
kielihenderson
Kieli Henderson :
🥰🥰🥰
2025-03-05 20:33:45
1
shelbyrutledge22
shelbyrutledge22 :
🥰
2025-01-21 05:46:42
0
donnamunozfuhr
Donna Munoz Fuhr :
❤️❤️
2025-01-20 14:22:36
0
france43548
France :
I'm 59 in 10 days and I start double cleansing 5 years ago and it was a game changer !!
2025-01-21 23:21:19
1
cindy_pisces_316
cindy_pisces_316 :
I am enjoying all of her dupes
2025-01-22 02:32:43
1
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#RÉTRO MUSIC  FELA KUTI  Lady 1972 NIGÉRIA  *Shakara, un disque de Fela Anikulapo-Kuti qui fait toujours autant parler. La pochette est déjà un choc. Une cinquantaine de jeunes femmes (les choristes et danseuses de Fela) y apparaissent seins nus, en tailleur ou à genoux, dessinant le continent africain et le nombre 70, en référence au nom du groupe, The Africa ’70. Au centre du zéro, dans un coquet slip moulant, le chef de groupe sourit de toutes ses dents, comme s’il défiait les censeurs. De fait, sorti en 1972, le 33-tours sera réédité deux ans plus tard avec une couverture beaucoup plus sage, montrant seulement le profil du musicien. Mais c’est à l’écoute de Shakara que l’auditeur prend vraiment une claque. Car ce disque pose les fondamentaux de l’afrobeat, cet irrésistible mix de musiques africaines (comme le highlife) et américaines (jazz, funk, blues…). Certes, il n’y a que deux chansons, mais elles sont exceptionnellement longues : treize minutes quarante-sept secondes pour « Lady », et treize minutes vingt-six secondes pour « Shakara (Oloje) ». Plus tard, Fela ira plus loin dans des pièces d’une demi-heure (Unknown Soldier ou ODOO, par exemple). Mais un jalon est posé : le Nigérian prend le temps d’instaurer une ambiance de transe psychédélique. Les titres commencent par une longue introduction, d’autant plus efficace pour « Shakara » que la même phrase musicale est jouée par tout l’orchestre. Malgré l’incroyable profusion d’instruments, la machinerie tourne avec une régularité métronomique… On raconte que Fela, comme James Brown, imposait des amendes pour chaque couac ! Ce qui est certain, c’est que les chansons étaient rodées des nuits entières en public à l’Afro Spot, un club de Lagos loué par le chef de bande. Le batteur Tony Allen, qui a rejoint le groupe deux ans plus tôt, ajoute beaucoup au groove de l’album. Sur sa rythmique, les riffs de guitare, les cuivres et le clavier se superposent en boucles hypnotiques, créant parfois de l’espace pour les solos ou les voix. Fela et son chœur se répondent sur des textes provocateurs. « Lady », par exemple, évoque la femme africaine, qui veut être considérée comme l’égale de l’homme, et n’hésite pas – scandale ! – à attendre de son compagnon qu’il fasse la vaisselle. Critique de l’influence occidentale et rejet du patriarcat traditionnel, les paroles font toujours polémique. Cela n’empêche pas l’album de connaître immédiatement le succès. D’autant que les lyrics, habituellement en yorouba, sont aussi en partie en pidgin, ce qui permet au chanteur d’étendre son audience à tout le monde anglophone. RIP L'ARTISTE
#RÉTRO MUSIC FELA KUTI Lady 1972 NIGÉRIA *Shakara, un disque de Fela Anikulapo-Kuti qui fait toujours autant parler. La pochette est déjà un choc. Une cinquantaine de jeunes femmes (les choristes et danseuses de Fela) y apparaissent seins nus, en tailleur ou à genoux, dessinant le continent africain et le nombre 70, en référence au nom du groupe, The Africa ’70. Au centre du zéro, dans un coquet slip moulant, le chef de groupe sourit de toutes ses dents, comme s’il défiait les censeurs. De fait, sorti en 1972, le 33-tours sera réédité deux ans plus tard avec une couverture beaucoup plus sage, montrant seulement le profil du musicien. Mais c’est à l’écoute de Shakara que l’auditeur prend vraiment une claque. Car ce disque pose les fondamentaux de l’afrobeat, cet irrésistible mix de musiques africaines (comme le highlife) et américaines (jazz, funk, blues…). Certes, il n’y a que deux chansons, mais elles sont exceptionnellement longues : treize minutes quarante-sept secondes pour « Lady », et treize minutes vingt-six secondes pour « Shakara (Oloje) ». Plus tard, Fela ira plus loin dans des pièces d’une demi-heure (Unknown Soldier ou ODOO, par exemple). Mais un jalon est posé : le Nigérian prend le temps d’instaurer une ambiance de transe psychédélique. Les titres commencent par une longue introduction, d’autant plus efficace pour « Shakara » que la même phrase musicale est jouée par tout l’orchestre. Malgré l’incroyable profusion d’instruments, la machinerie tourne avec une régularité métronomique… On raconte que Fela, comme James Brown, imposait des amendes pour chaque couac ! Ce qui est certain, c’est que les chansons étaient rodées des nuits entières en public à l’Afro Spot, un club de Lagos loué par le chef de bande. Le batteur Tony Allen, qui a rejoint le groupe deux ans plus tôt, ajoute beaucoup au groove de l’album. Sur sa rythmique, les riffs de guitare, les cuivres et le clavier se superposent en boucles hypnotiques, créant parfois de l’espace pour les solos ou les voix. Fela et son chœur se répondent sur des textes provocateurs. « Lady », par exemple, évoque la femme africaine, qui veut être considérée comme l’égale de l’homme, et n’hésite pas – scandale ! – à attendre de son compagnon qu’il fasse la vaisselle. Critique de l’influence occidentale et rejet du patriarcat traditionnel, les paroles font toujours polémique. Cela n’empêche pas l’album de connaître immédiatement le succès. D’autant que les lyrics, habituellement en yorouba, sont aussi en partie en pidgin, ce qui permet au chanteur d’étendre son audience à tout le monde anglophone. RIP L'ARTISTE

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