@letherxd: Rosemary - Deftones #rosemary #deftones #2000s #rock #edit #elldzs

lether★
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Wednesday 22 January 2025 20:27:38 GMT
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deftoneslover943
DeftonesLover94 :
DeftonesLover94
2025-01-24 17:23:43
1479
d.oone
Doone :
Best Deftones song. Ever. Argue with the wall
2025-01-31 20:05:56
974
ashieeu.u
🔞 :
stay with me...
2025-01-23 09:40:33
1626
reckymiikey
recklezzmikey :
deftones so buns 💔
2025-02-10 06:10:35
13
zombiejubs
juju ☥ :
STAY WITH MEEEEEE
2025-01-27 08:18:48
20
kinsley100207
Kins🪩🌸🛼 :
Me when Deftones.
2025-01-27 14:53:23
157
cloelindabela
𝓔milly 💯 ninguém :
oi amo deftones
2025-01-22 21:01:58
176
d555n5_
melanchole :
stay
2025-01-27 10:28:22
17
crayford4
crayford :
this sounds a bit different what version is this??
2025-03-02 04:23:22
0
nixail_nixi
Nixi@ :
еще одна песня Deftones под которую я буду плакать
2025-01-30 17:51:45
50
dizzylux9000
🍥oЯion/finn ⋆꩜ ✦ · .🦴 :
this song genuinely changed my life
2025-01-31 15:32:20
9
wh0re212
wh0r21 :
Hearing this life is so life altering 🧎‍♀️
2025-02-18 08:17:29
100
katie_q14
￶ ￶ :
stay with meeee as we cross the empty skiessss come sail with meeee 🗣️🔥
2025-01-26 21:51:07
74
alvgitarr
alvgitarr :
rate my tone on the heavy part 👍🏼
2025-02-06 01:09:23
11
kel_lynn_
kelly👒🦢🪺 :
Just pray you’re not in my car on the freeway when this song comes on
2025-02-21 10:55:52
75
godsalwayslistening20
Owen Reese✝️ :
Deftoneslover36
2025-02-18 21:03:21
2
mrwolfpox
Mr. Wolfe :
says sail, shows a row boat 💀
2025-02-26 09:22:35
4
_bunnx22
𝐙 ཐི❤︎ཋྀ :
ME WHEN UGHH DEFTONES😩
2025-01-27 21:18:05
74
https.haron
𝓼𝔁𝓱𝓪𝓻𝓸𝓷 :
Sharon escuchar Deftones Sharon ser feliiiiz🫀
2025-01-26 21:29:42
100
rv.monts_
monts :
Un tatuaje que diga:
2025-01-29 02:13:02
97
noturka1
NotUrKai :
wish I knew how to edit, this would go so hard over shadow the hedgehog
2025-02-02 16:48:12
1
agah1.1
Niilista XV :
meu dna foi codificado por deftones, soad, Crystal castle e alequis ge
2025-01-24 05:42:07
96
rilynnspams0
ruh :
remind me every second
2025-02-04 03:05:13
31
heykaydo
HeyKaydo :
favorite deftones song
2025-01-30 03:48:43
9
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Le féminisme moderne, surtout dans sa version libérale et capitaliste, a fait croire aux femmes que leur liberté passerait par le marché, par l’ascension dans les sphères du travail salarié, par l’appropriation des codes de réussite construits par des hommes dans un système conçu pour les servir. Ce féminisme promet l’égalité, mais il ne la donne qu’à celles qui ont déjà des privilèges. Dans la réalité, les plus pauvres, les femmes racisées, les femmes de classe populaire se retrouvent souvent à servir celles qui montent, en gardant leurs enfants, en nettoyant leurs maisons, en portant le poids invisible du travail du care. La lutte qui se voulait universelle s’est transformée en une promotion individuelle, rentable pour le capitalisme mais stérile pour la véritable émancipation. Si l’on compare cela avec l’islam, le contraste est saisissant. Dès le VIIe siècle, le Coran a donné aux femmes des droits qui, en Occident, ne seront reconnus que plus de mille ans plus tard. Le droit d’hériter, le droit à la propriété, le droit de choisir son époux, le droit à la dot, le droit de divorcer, le droit à l’éducation. Alors qu’en Europe, la femme était considérée comme la propriété de son mari et juridiquement assimilée à une mineure, l’islam la reconnaissait déjà comme une entité juridique indépendante, responsable de ses biens et de ses choix. Ces droits n’étaient pas le fruit d’un mouvement militant ni d’une idéologie changeante, mais une révélation divine immuable qui place la dignité de la femme au même niveau que celle de l’homme. Le féminisme libéral, en se confondant avec le capitalisme, a vidé la lutte de sa substance. Les marques s’approprient le langage de l’émancipation pour vendre des parfums, des T-shirts et des produits de beauté. La figure de la “girl boss” est devenue le modèle à atteindre, mais c’est une caricature qui enferme encore les femmes dans des standards façonnés par les attentes masculines et économiques. En islam, la valeur de la femme n’est pas liée à sa performance ni à son apparence. Allah rappelle que le plus noble des êtres humains est le plus pieux, et non le plus riche, le plus productif ou le plus séduisant. La hiérarchie sociale est ainsi abolie pour être remplacée par une hiérarchie spirituelle fondée sur la proximité avec Dieu. Ce parallèle met en évidence que le féminisme moderne promet l’émancipation en livrant les femmes au marché, alors que l’islam garantit leur dignité en les libérant du marché. Dans le système capitaliste, la femme est une ressource, un consommateur et un produit de consommation à la fois. Dans l’islam, elle est une âme dotée de droits et de devoirs, respectée pour son humanité et non pour sa capacité à nourrir la machine économique. C’est pourquoi l’histoire est éclairante. Là où l’Occident a attendu le XIXe siècle pour donner aux femmes le droit d’hériter et le XXe pour leur reconnaître le droit de vote, l’islam avait déjà accordé ces droits dès le VIIe siècle. Là où les féministes modernes continuent à demander aux femmes de prouver leur valeur en adoptant les codes masculins, l’islam affirme depuis quatorze siècles qu’elles n’ont rien à prouver à personne, car leur valeur est inscrite dans leur nature et confirmée par le Créateur.
Le féminisme moderne, surtout dans sa version libérale et capitaliste, a fait croire aux femmes que leur liberté passerait par le marché, par l’ascension dans les sphères du travail salarié, par l’appropriation des codes de réussite construits par des hommes dans un système conçu pour les servir. Ce féminisme promet l’égalité, mais il ne la donne qu’à celles qui ont déjà des privilèges. Dans la réalité, les plus pauvres, les femmes racisées, les femmes de classe populaire se retrouvent souvent à servir celles qui montent, en gardant leurs enfants, en nettoyant leurs maisons, en portant le poids invisible du travail du care. La lutte qui se voulait universelle s’est transformée en une promotion individuelle, rentable pour le capitalisme mais stérile pour la véritable émancipation. Si l’on compare cela avec l’islam, le contraste est saisissant. Dès le VIIe siècle, le Coran a donné aux femmes des droits qui, en Occident, ne seront reconnus que plus de mille ans plus tard. Le droit d’hériter, le droit à la propriété, le droit de choisir son époux, le droit à la dot, le droit de divorcer, le droit à l’éducation. Alors qu’en Europe, la femme était considérée comme la propriété de son mari et juridiquement assimilée à une mineure, l’islam la reconnaissait déjà comme une entité juridique indépendante, responsable de ses biens et de ses choix. Ces droits n’étaient pas le fruit d’un mouvement militant ni d’une idéologie changeante, mais une révélation divine immuable qui place la dignité de la femme au même niveau que celle de l’homme. Le féminisme libéral, en se confondant avec le capitalisme, a vidé la lutte de sa substance. Les marques s’approprient le langage de l’émancipation pour vendre des parfums, des T-shirts et des produits de beauté. La figure de la “girl boss” est devenue le modèle à atteindre, mais c’est une caricature qui enferme encore les femmes dans des standards façonnés par les attentes masculines et économiques. En islam, la valeur de la femme n’est pas liée à sa performance ni à son apparence. Allah rappelle que le plus noble des êtres humains est le plus pieux, et non le plus riche, le plus productif ou le plus séduisant. La hiérarchie sociale est ainsi abolie pour être remplacée par une hiérarchie spirituelle fondée sur la proximité avec Dieu. Ce parallèle met en évidence que le féminisme moderne promet l’émancipation en livrant les femmes au marché, alors que l’islam garantit leur dignité en les libérant du marché. Dans le système capitaliste, la femme est une ressource, un consommateur et un produit de consommation à la fois. Dans l’islam, elle est une âme dotée de droits et de devoirs, respectée pour son humanité et non pour sa capacité à nourrir la machine économique. C’est pourquoi l’histoire est éclairante. Là où l’Occident a attendu le XIXe siècle pour donner aux femmes le droit d’hériter et le XXe pour leur reconnaître le droit de vote, l’islam avait déjà accordé ces droits dès le VIIe siècle. Là où les féministes modernes continuent à demander aux femmes de prouver leur valeur en adoptant les codes masculins, l’islam affirme depuis quatorze siècles qu’elles n’ont rien à prouver à personne, car leur valeur est inscrite dans leur nature et confirmée par le Créateur.

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