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fabi25705
fabi :
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2025-09-07 06:48:48
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kuyacarl39
Karl USA Philippines :
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2025-09-07 03:43:07
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amuzu_thiago21
Amuzu Thiago21 :
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2025-09-07 02:56:50
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chu_ki10
@Dani 👑 :
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2025-09-02 21:21:00
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irenextlvd1
juanita :
😁
2025-09-02 21:19:28
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jyll_2020
Jyll_2020 :
😂
2025-09-01 06:43:08
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user610387496910
イガイ ダニカ :
.
2025-09-03 10:04:58
0
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Aujourd’hui, plusieurs vidéos de dénonciation seront publiées sur TikTok, car je n’ai plus d’autre choix : mes preuves, pourtant légales et accablantes, ont été systématiquement ignorées par les institutions qui avaient l’obligation de les recevoir et de les examiner. En vertu du Code de procédure civile du Québec (art. 20 et 2803 C.c.Q.), j’ai le droit fondamental de déposer mes preuves et de faire entendre mes témoins. En vertu de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec (art. 23) et de la Charte canadienne des droits et libertés (art. 7 et 11d), j’ai droit à une audition équitable, à ce que ma cause soit entendue, et à ce que toutes mes preuves soient considérées par un juge impartial. Le refus ou l’exclusion arbitraire de mes témoins constitue une violation grave de ces droits. De plus, selon le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (art. 14, ONU), tout citoyen a droit à un procès équitable, à présenter sa défense et à faire entendre ses témoins. En m’empêchant de le faire, les juges et les acteurs judiciaires n’ont pas seulement porté atteinte à ma cause personnelle : ils ont également manqué à leur obligation légale et morale de dénoncer des compatriotes fautifs auprès du syndic du Barreau du Québec, du ministère de la Justice et de la magistrature canadienne. J’ai payé très cher plusieurs avocats et une technicienne juridique, mais personne n’a défendu mes droits. Même lorsque j’ai tenté de déposer mes preuves moi-même au palais de justice, l’accès m’a été rendu presque impossible. Et lorsque mes preuves ont finalement été reçues, les juges ont neutralisé ma démarche en éliminant mes témoins — ce qui, selon les propos de Marie-Lucie Bérubé, permettrait ensuite de prétendre que mes preuves devenaient « invalides ». Voilà la réalité : j’avais des preuves flagrantes, irréfutables, et pourtant, on a choisi de les enterrer plutôt que de respecter mes droits fondamentaux.
Aujourd’hui, plusieurs vidéos de dénonciation seront publiées sur TikTok, car je n’ai plus d’autre choix : mes preuves, pourtant légales et accablantes, ont été systématiquement ignorées par les institutions qui avaient l’obligation de les recevoir et de les examiner. En vertu du Code de procédure civile du Québec (art. 20 et 2803 C.c.Q.), j’ai le droit fondamental de déposer mes preuves et de faire entendre mes témoins. En vertu de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec (art. 23) et de la Charte canadienne des droits et libertés (art. 7 et 11d), j’ai droit à une audition équitable, à ce que ma cause soit entendue, et à ce que toutes mes preuves soient considérées par un juge impartial. Le refus ou l’exclusion arbitraire de mes témoins constitue une violation grave de ces droits. De plus, selon le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (art. 14, ONU), tout citoyen a droit à un procès équitable, à présenter sa défense et à faire entendre ses témoins. En m’empêchant de le faire, les juges et les acteurs judiciaires n’ont pas seulement porté atteinte à ma cause personnelle : ils ont également manqué à leur obligation légale et morale de dénoncer des compatriotes fautifs auprès du syndic du Barreau du Québec, du ministère de la Justice et de la magistrature canadienne. J’ai payé très cher plusieurs avocats et une technicienne juridique, mais personne n’a défendu mes droits. Même lorsque j’ai tenté de déposer mes preuves moi-même au palais de justice, l’accès m’a été rendu presque impossible. Et lorsque mes preuves ont finalement été reçues, les juges ont neutralisé ma démarche en éliminant mes témoins — ce qui, selon les propos de Marie-Lucie Bérubé, permettrait ensuite de prétendre que mes preuves devenaient « invalides ». Voilà la réalité : j’avais des preuves flagrantes, irréfutables, et pourtant, on a choisi de les enterrer plutôt que de respecter mes droits fondamentaux.

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