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ابو وضاح
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Tuesday 02 September 2025 09:49:33 GMT
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Les œuvres d’art les plus secrètes de la Silicon Valley 🏜️ À l’échelle du nanomètre, bien loin des regards, se cache le chip art. Depuis les années 1970, certains ingénieurs en microélectronique profitent des espaces inutilisés sur les circuits intégrés pour y dissimuler des dessins minuscules parfois plus fins qu’un cheveu. 🔬 Ces « silicon doodles » prennent la forme d’animaux, de logos, de clins d’œil humoristiques, ou même de personnages de bande dessinée. Invisibles à l’œil nu, ils ne se révèlent qu’au microscope.👀 Si la démarche relève d’abord de la signature personnelle ou du simple amusement, ces gravures ont aussi eu, un temps, une fonction juridique. 🧑‍⚖️ Avant l’adoption du Semiconductor Chip Protection Act en 1984, la présence d’un motif identique sur une puce concurrente pouvait constituer une preuve de copie. Aujourd’hui, cet art clandestin a trouvé une seconde vie grâce à des collectionneurs passionnés.  L’Américain Kenton Smith, ingénieur de formation, s’est ainsi fait connaître pour sa quête de ces dessins rares : un T-Rex en décapotable, un lapin de Playboy ou encore le mystérieux « Moose Boy ». Il parcourt les marchés de composants, démonte les circuits et partage ses découvertes en ligne.🧠 L’Université de Floride a de son côté créé le Silicon Zoo, une galerie numérique recensant les exemples les plus remarquables. 🇺🇸 Dans un contexte où les États rivalisent pour concevoir les processeurs les plus puissants, ces gravures rappellent que derrière la froideur du silicium se cache aussi une part d’art. 🎨 Sources : IEEE Spectrum, Wired, The Economic Times
Les œuvres d’art les plus secrètes de la Silicon Valley 🏜️ À l’échelle du nanomètre, bien loin des regards, se cache le chip art. Depuis les années 1970, certains ingénieurs en microélectronique profitent des espaces inutilisés sur les circuits intégrés pour y dissimuler des dessins minuscules parfois plus fins qu’un cheveu. 🔬 Ces « silicon doodles » prennent la forme d’animaux, de logos, de clins d’œil humoristiques, ou même de personnages de bande dessinée. Invisibles à l’œil nu, ils ne se révèlent qu’au microscope.👀 Si la démarche relève d’abord de la signature personnelle ou du simple amusement, ces gravures ont aussi eu, un temps, une fonction juridique. 🧑‍⚖️ Avant l’adoption du Semiconductor Chip Protection Act en 1984, la présence d’un motif identique sur une puce concurrente pouvait constituer une preuve de copie. Aujourd’hui, cet art clandestin a trouvé une seconde vie grâce à des collectionneurs passionnés. L’Américain Kenton Smith, ingénieur de formation, s’est ainsi fait connaître pour sa quête de ces dessins rares : un T-Rex en décapotable, un lapin de Playboy ou encore le mystérieux « Moose Boy ». Il parcourt les marchés de composants, démonte les circuits et partage ses découvertes en ligne.🧠 L’Université de Floride a de son côté créé le Silicon Zoo, une galerie numérique recensant les exemples les plus remarquables. 🇺🇸 Dans un contexte où les États rivalisent pour concevoir les processeurs les plus puissants, ces gravures rappellent que derrière la froideur du silicium se cache aussi une part d’art. 🎨 Sources : IEEE Spectrum, Wired, The Economic Times

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